En tant que thérapeute, je m’engage à respecter le code de déontologie tel que décrit ci-dessous :
Clarté de la relation entre la personne qui consulte et le thérapeute
Dès le début de la relation d’aide, je définis un cadre clair avec vous et réponds à vos éventuelles questions, afin que vous puissiez vous engager dans la thérapie en confiance et en toute connaissance de cause. En particulier, la thérapie que je propose n’a pas vocation à vous fournir des solutions aux problématiques que vous rencontrez. C’est en explorant, à deux et via la relation thérapeutique, que nous pourrons éclairer les différentes possibilités qui s’offrent à vous, au sein desquelles vous pourrez librement choisir ce qui fait sens pour vous.
Respect de la personne, empathie et non jugement
Je vous écoute et vous encourage à vous exprimer, et ce, de façon inconditionnelle, quel que soit le contenu de vos propos. Je n’impose jamais de vérités ou de croyances personnelles, et j’agis dans le respect de votre intégrité et des droits de l’homme.
Confiance
En tant que psychopraticienne existentialiste, je respecte le code de déontologie de la profession. Je m’engage ainsi à me mettre au seul service du processus psychothérapique, je ne fais rien qui pourrait vous nuire ou qui serait motivé par l’intérêt de tiers ou par des fins personnelles conscientes ou inconscientes autres que celles de la psychothérapie.
Domaine de Compétence
Je m’engage à vous orienter vers d’autres praticiens si j’estime ne pas disposer des compétences nécessaires pour vous accompagner. La psychothérapie ne se substitue pas à la médecine et je vous inviterai à un suivi médical si nécessaire.
Transparence
Je vous précise en début de thérapie le cadre de mon accompagnement (honoraires, modalités de paiement, conditions d’annulation ou de report, fin de thérapie…). Celui-ci, ainsi que le présent code de déontologie, est disponible sur mon site internet.
Perfectionnement
Je veille à actualiser mes connaissances et pratiques en me tenant informée des recherches et des avancées dans mon domaine d’application. Je participe régulièrement, et tout au long de ma pratique professionnelle, à un cadre de supervision et de contrôle de ma pratique par un tiers qualifié.
Secret professionnel et devoir de discrétion
En tant que psychopraticienne, je m’astreins au secret professionnel sur le contenu de ce que vous me confiez pendant vos séances, dans les limites du cadre légal.